Et toi tu rêves ?

En prélude à la représentation de La nuit labyrinthe par la Comédie de Saint-Etienne à Saint-Paul-en-Jarez le samedi 5 mars à 20h30 (Maison du temps libre), la médiathèque Michel Courot accueille pendant quelques jours un dispositif mis en place par la Comédie permettant d‘avoir un avant-goût du spectacle, avec un montage de témoignages de rêves et de cauchemars qu’on peut écouter, tout ou partie, à la médiathèque. Ces récits ne sont pas des extraits de la pièce, ils viennent en complément de celle-ci. Installez-vous confortablement, prenez un casque et laissez-vous emporter dans ces récits.

La nuit labyrinthe (texte et mise en scène de Pauline Laidet), comédie itinérante jouée par la Compagnie La seconde Tigre s’inspire de plusieurs albums pour la jeunesse (dont le célèbre Max et les maximonstres) mais aussi de la série de BD La Brigade des cauchemars scénarisée par Franck Thilliez. Les ouvrages qui ont inspiré le spectacle seront présentés à la médiathèque, accompagnés d’une sélection de livres sur la nuit et les rêves.

La nuit labyrinthe (à partir de 8 ans) : Sur un plateau entièrement recouvert d’une immense couette duveteuse, deux comédiennes et un comédien qui est également musicien nous invitent à partir à la chasse aux monstres. Ombres furtives ? Marionnettes mouvantes ou simple grimage ? Il n’est pas facile de les débusquer. On peut faire confiance à la metteuse en scène et chorégraphe, Pauline Laidet, dont les différentes créations accordent une place essentielle à l’écriture visuelle pour donner corps à ces apparitions fantasmagoriques et inquiétantes. À voir en famille !
Et dans ton rêve, tu as réussi à t’enfuir ? Qui n’a jamais souhaité se défaire de ses cauchemars, en percer l’origine afin de les faire disparaître tout à fait ? Rien de plus simple surtout si votre meilleur ami, Morphée, est considéré comme le plus grand spécialiste en la matière. Il a d’ailleurs inventé un moyen pour s’immiscer à l’intérieur des rêves des enfants… Le hic, c’est que certains adorent se faire peur et tiennent plus que tout à leurs tourments.